Dans le rapport 2006 nous disions « Un des soucis majeurs a été d’éviter que le travail sur la charte ne ressemble à une théorie philosophique abstraite compréhensible par ceux qui sont habitués à ce genre d’exercice. Ainsi il a fallu revoir l’angle d’attaque pour éviter de tomber sur des débats qui n’intéressent que les initiés. (...) |
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Aider les jeunes à s’approprier des principes de la Charte des responsabilités humaines et à la diffuser dans leur milieu par la musique. |
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Le défi du développement : la société civile présente ses propositions |
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Nous allons privilégier cette année les approches thématiques à dimension sous-régionale dans différents contextes. |
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Activités en 2005 - Nous avons commencé à nous déployer suivant les axes énoncés antérieurement, autour du prolongement du travail de traduction de la Charte en différentes langues africaines, et de la mise en débat et diffusion de la Charte dans différents milieux. |
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Fascicules, cassettes, ateliers, conférences publiques...
Téléchargez le texte de la Charte en Wolof, et écoutez la Charte en chanson, en wolof ! |
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Le travail de traduction de la charte a été confié à un groupe de linguistes sénégalais qui sont des professionnels et/ou des militants des langues nationales. Ce groupe est composé au plan social de religieux (des imams), des alphabétiseurs en langue nationale et de militants luttant pour l’usage des langues nationales dans le système éducatif. Les participants maîtrisent les deux formes de (...) |
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Pour vulgariser la charte au Sénégal, nous avons opté pour une démarche inclusive en utilisant des formats diversifiés (texte et cassette audio). Elle a été traduite en langue nationale wolof (la première langue nationale du Sénégal) avec des caractères latins. Au Sénégal, on peut aussi transcrire cette langue avec des caractères arabes. La traduction en wolof est insuffisante pour faire partager la charte (...) |
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Ce qui me fait courir : donner la parole aux sans voix Je suis sénégalais, professeur d’histoire de profession, marié et père de 02 enfants. Très tôt, dès l’âge de 15- ans, je me suis impliqué dans la vie associative (aujourd’hui j’en ai 49).
D’abord à Kanel, mon village natal ( Nord du Sénégal), je donnais des cours d’alphabétisation en français. Puis au sein d’autres structures dans des régions (...) |
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