Changeons l ’Afrique
Charte africaine de partenariat entre habitants et collectivites locales Charte et médias Charte et responsabilités publiques au Togo Contact Dem Walla Dee : partir ou mourir La Charte des responsabilités humaines et l’Union Africaine La Charte et la gestion des conflits en Afrique La Charte sur fond musical rap, en wolof, français et anglais ! La Charte vue par les femmes La coopération internationale : un instrument efficace pour lutter contre la pauvreté ? Les enfants sénégalais chantent la Charte et les droits de l’enfant |
Outils pédagogiques et stratégies | |
DépliantsDes dépliants expliquant le processus de mise en dialogue de la Charte des responsabilités humaines avec comme objectif de constituer le troisième pilier de la vie internationale (après la Charte de l’Organisation des Nations Unies et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme) ont été produits comme outil pédagogique. Pays concernés : Togo, Bénin, Côte d’Ivoire, Burkina Faso et Sénégal.
Les 5000 dépliants produits ont été acheminés en Côte d’Ivoire, au Sénégal, au Bénin, au Burkina Faso et au Togo pour les activités de promotion de la Charte. Plusieurs collèges socioprofessionnels ont été associés aux activités de promotion de la Charte. Il s’agit des collèges suivants : - Le collège des professionnels de la justice (association regroupant des juristes du Togo et du Burkina Faso engagés dans la lutte pour la gestion des conflits dans le Sahara) à démontré au cours d’une rencontre régionale à Lomé, que les valeurs défendues par les principes de la Charte des responsabilités humaines sont conformes aux dispositifs constitutionnels de la Charte de l’Unité Africaine et de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.
En outre et conformément à la convention signée entre le GARED et la FPH, des activités de promotion de la Charte ont été financées au Sénégal et Bénin. Sénégal : Charte traduite du français en WolofVous pouvez la télécharger ici Audio : la Charte sous forme musicale en WolofEgalement disponible, l’historique de l’Alliance en Wolof : VulgarisationLe principe a été de donner la cassette et le texte en wolof à des groupes sociaux particuliers pouvant faire bon usage des produits : - les organisations paysannes, notamment la Fédération des ONG du Sénégal (FONGS), qui développent des outils de vulgarisation reposant sur l’écoute
Les effets induits de la Charte en cassetteNous avons été obligés de réajuster notre démarche qui, au départ, était centrée sur les villes. Nous nous sommes rendus compte que les citadins n’avaient pas beaucoup de temps à consacrer à l’écoute (la cassette dure 24 minutes), ce qui n’est pas le cas des ruraux. Cela explique les tournées organisées dans le monde rural. Le monde rural conserve encore une culture d ‘écoute qui se manifeste par des veillées de contes ou d’écoute d’émissions radiophoniques centrées sur le monde rural. D’ailleurs la radio FM Koungheul (centrée sur le monde rural) a fait de la cassette l’indicatif d’une de ses émissions. Ateliers thématiquesIl s’agit de consulter, de tester et d’évaluer – à travers des rencontres et des réunions - la pertinence des propositions réalistes et pragmatiques pour mettre en pratique les changements énoncés par la Charte des responsabilités humaines. Conférences publiquesCe sont des déplacements qui ont été l’occasion d’organiser des conférences publiques sur la Charte et la traduction de certains concepts du français au wolof. Au sein des linguistiques sénégalais, il y encore débat sur la traduction des concepts. Le texte en wolof a été largement distribué chez les néo alphabétisés en wolof qui en ont fait un document de post-alphabétisation. |