Série d’ateliers sur la responsabilité

La responsabilité environnementale des jeunes

19 janvier 2009 - Un atelier a été organisé à Marneuli, une région majoritairement habitée par les azerbaïdjanais (45 participants, élèves, parents, éducateurs). Un documentaire sur l’environnement a déclanché la discussion sur la responsabilité de chacun envers la nature et les êtres vivants. Puis le texte de la Charte adapté en azerbaidjanais a été distribué et présenté par Tasia Zakariadze (à l’aide d’un interprète). Les participants se sont exprimés et ont parlé de l’importance du document et de Responsabilité commune des Georgiens et des minorités habitant en Georgie.

Diversité socioprofessionnelle des participants, échanges de qualité

20 janvier 2009 - nous avons organisé un atelier à Akhalkalaki, dans la région de Chua Kartli (50 participants, parmi lesquels des éducateurs, un député de communauté, le préfet, deux journalistes de "24 heures" - un quotidien majeur-, et des journalistes de la chaîne régionale). Les participants ont été invités à s’exprimer sur la notion de responsabilité et à citer les exemples de responsabilités qu’ils ont assumées dans la vie. Puis nous avons parlé de la Charte, de ses objectifs. Les élèves (qui d’ailleurs étaient très actifs) se sont divisés en groupes pour travailler sur les principes. Les élèves ont fait un sketch sur la responsabilité et ont organisé un petit concert. La chaîne régionale a consacré une émission de 10 minutes à cet Evénement.

Echanges locaux, incitation mutuelle, motivation collective

23 mai 2009 - Un atelier s’est tenu a Khechili-village, habité par les Ossétiens a Kakheti (région majoritairement habitée par les Georgiens mais où se trouve aussi 3 grands villages habités par les Ossétiens). Les habitants de 3 villages (jeunes, adultes et les dirigeants des villages) y ont pris part. Nous avons distribué des dépliants et calendriers sur la Charte.

Après la présentation de la Charte par Marina Avaliani, les intervenants se sont exprimés sur la responsabilité. Les discussions ont porté sur les changements climatiques (qu’est-ce que nous pouvons faire pour l’empêcher ?), la diversité ethnique, l’agriculture biologique.

Je vais semer un grain de responsabilité - a dit Chakro Vaniev - je refuse d’utiliser les fertilisants chimiques et vous, mes voisins, si vous imitez mon exemple nous récolterons la sève de la Terre Mère et de nos enfants.