Orientations en 2005

Premier scénario : au Chili le milieu le plus dynamique est le milieu universitaire : 56 universitaires sont engagés activement avec la Charte, ils élaborent des réflexions. Nous avons trois livres à publier (un d’un mathématicien, un autre de femmes et un autre sur les religions). Un grand nombre de nos intellectuels est impliqué dans les publications (bien sûr des intellectuels du tiers monde) mais qui ne sont pas pour autant de moindre qualité : le théologien jésuite le plus reconnu de nos temps sur la philosophie indigène a participé au livre Spiritualité, ainsi qu’un économiste de grand prestige et quelques philosophes, très respectés.

Notre deuxième scénario : l’art et la culture. Ici l’évolution a été très forte, étonnamment forte, nous l’évaluerons lors d’une rencontre d’Artistes autour de la Charte. Comme nous le savons, le Chili a connu quelques personnes de renom dans le milieu artistique.

Le troisième secteur avec lequel nous avons avancé est celui des religions - Luthériens, Catholiques, Ba Hai, Méthodistes, Musulmans - et nous commençons à préparer un parlement sur les religions et la Charte qui nécessitera la préparation de thèses, d’analyses, de rapports, un travail important afin de développer cela sérieusement.

Le quatrième espace est celui les peuples natifs et indigènes qui préparent un manifeste d’adhésion à la Charte ; viennent ensuite les jeunes, les professionnels, et malheureusement à la fin, les paysans.


Início A Carta Histórico e características Textos da Carta A Cross-cultural and Multilingual Process Que é novo? Atividades Atividades regionais Intercultural Research Group Atividades globales Temas fortes Militares e responsabilidade Mulheres e responsabilidade Empresas e responsabilidade Meio ambiente e responsabilidade Culturas e responsabilidade Governança, Direitos humanos, e responsabilidade Educação e responsabilidade Cultura de responsabilidade Art and responsibility Intercultural, diálogo e plurilinguismo Finança e responsabilidade Economia y responsabilidade Reflexões ... sobre o conceito de responsabilidade ... sobre a Carta das Responsabilidades Humanas Ferramentas para ação Audio & Video Cards, flyers... Interactive Documents Métodos Facilitar debates e oficinas construir uma rede Informar, educar Construir um processo de difusão Vínculos Quem somos? O Comitê Internacional de facilitação da Carta Encontro bienal dos membros do Comitê internacional da Carta Sobre este site
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	Início Atividades Atividades regionais América Latina Chile Seguimento, avaliaçãos, Relatórios Publicado em 6 de abril de 2005 Traduções disponíveis em: English (original) . Español . Orientations en 2005 por Carlos LIBERONA
	Premier scénario : au Chili le milieu le plus dynamique est le milieu universitaire : 56 universitaires sont engagés activement avec la Charte, ils élaborent des réflexions. Nous avons trois livres à publier (un d’un mathématicien, un autre de femmes et un autre sur les religions). Un grand nombre de nos intellectuels est impliqué dans les publications (bien sûr des intellectuels du tiers monde) mais qui ne sont pas pour autant de moindre qualité : le théologien jésuite le plus reconnu de nos temps sur la philosophie indigène a participé au livre Spiritualité, ainsi qu’un économiste de grand prestige et quelques philosophes, très respectés. Notre deuxième scénario : l’art et la culture. Ici l’évolution a été très forte, étonnamment forte, nous l’évaluerons lors d’une rencontre d’Artistes autour de la Charte. Comme nous le savons, le Chili a connu quelques personnes de renom dans le milieu artistique. Le troisième secteur avec lequel nous avons avancé est celui des religions - Luthériens, Catholiques, Ba Hai, Méthodistes, Musulmans - et nous commençons à préparer un parlement sur les religions et la Charte qui nécessitera la préparation de thèses, d’analyses, de rapports, un travail important afin de développer cela sérieusement. Le quatrième espace est celui les peuples natifs et indigènes qui préparent un manifeste d’adhésion à la Charte ; viennent ensuite les jeunes, les professionnels, et malheureusement à la fin, les paysans.