Les citoyens équatoriens ont approuvé massivement une nouvelle constitution qui donne à la nature le droit à "l’existence, la durée, la préservation et la régénération". C’est la première nation à donner légalement des droits applicables au monde naturel (L’Espagne a accordé récemment des droits aux singes, alors que les États-Unis, pour leur part, confèrent des droits légaux aux entreprises).
La nouvelle constitution équatorienne exige que l’Etat applique le principe de précaution dans toutes les activités pouvant mener à la destruction de l’écosystème, l’extinction de l’espèce ou la "modification permanente des cycles naturels". Les Indiens Équatoriens voient la nature comme une figure maternelle, connue comme la Pachamama.
Source : Sierra magazine, janvier/février 2009
Plus d’information en anglais dans le Numéro 75 (edition Winter 2009) de la Newsletter de Global Exchange , ici (document pdf) |