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Publicado el 4 de mayo de 2005
Traducciones disponibles en: Español (original) . English . Português do Brasil .

Rencontre du Comité International en 2005 au Chili : première évaluation

Sur les POINTS FORTS

- La réunion a clarifié les accords, les points de coopération possibles, les réseaux qui existent et elle a confirmé que le processus a démarré, certes avec des rythmes différents, mais il acquerra dans les deux prochaines années plus de force et un rythme plus soutenu.

- La Charte a déjà des "nids sociaux", c’est-à-dire des bases de départ dans plusieurs pays et l’appui à la Charte va croissant, même si notre plan de construction reste fragile et expérimental.

- La construction du dialogue et le soutien s’exprime dans divers milieux, surtout parmi les femmes, les universitaires, le monde social, celui de l’art et de la culture, les indigènes et les jeunes.

- Plusieurs résultats et produits faciliteront le travail de la prochaine étape : vidéos, livres, réflexions, etc.

- Les alliés apparaissent naturellement pour le processus en construction autour de la Charte.

- Il y a un accord largement partagé parmi nous, sur le contenu et la signification de la Charte, à l’exception de la question du ’comment maintenir la Charte ouverte’, ou ’comment protéger sa formulation essentielle’.

- Progressivement, nous construisons des liens de confiance et de connaissance dans notre équipe, je pense que c’est le résultat principal pour l’avenir.

- Nous avons créé les conditions pour renforcer la coopération et je crois qu’elles sont rassemblées pour améliorer la communication, un aspect vital de la construction.

Sur les POINTS FAIBLES

Nous continuons à avoir les yeux rivés sur la construction locale, partielle, et nous avons du mal à voir la construction dans son ensemble. En plus d’évaluer la diversité existante, nous devrions travailler avec force sur les éléments communs, les plans communs.

- Nous avons tous choisi les partenaires sociaux selon notre contexte local et les confiances établies, et nous devrions, je crois, avancer pour choisir deux ou trois secteurs sociaux et construire avec eux dans chaque pays (par exemple femmes, jeunesse et culture?).

- Nous ne devrions pas polariser la discussion sur des scénarios de construction, à savoir si nous devons être dans les institutions ou dans les mouvements sociaux, nous devons, je crois, coordonner les deux scénarios.

- Le plus grand défi, bien évidemment, est de passer de la construction locale à la construction mondiale, ce pour quoi nous devrions améliorer notre travail de communication.

- Il apparaît clairement qu’il devient nécessaire d’enquêter plus sur ce que les divers milieux entendent par RESPONSABILITÉ.

Carlos Liberona, Chili,
12 février 2005.

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